« Toute carrière politique de femme, quand il y en aura, naîtra d’un élan. Cette incapacité politique qu’on leur reproche est donc justement la qualité qui peut vaincre chez nous la routine politique, cette capacité de réactions instantanées dont notre pays a le plus grand besoin… Je rougis, en tant qu’homme, de la comparaison future entre l’affiche électorale masculine, qui appelle à l’aide pour le triomphe de droits théoriques, que personne d’ailleurs ne discute plus depuis cent ans, et de l’affiche électorale féminine, qui réclamera une ville propre, un hôpital bien tenu, des enfants bien soignés. Jamais le penchant des femmes vers les solutions provisoires, mais vivantes, ne s’est aussi bien accommodé de l’époque. »

 

Je ne suis pas sûr que « reproche » soit le terme.

Ce n’était (est) pas un reproche, mais une simple dénégation.