Il y a les propos sur Hitchcock, que j'aime, les propos, puis le reste des textes, que j'ai survolés davantage que lus (quoique je les aie lus), qui me font penser à l'admirable coffret que cela aurait pu être s'il n'y avait eu que les images ; que les images de ces quatre volumes, et non les textes qui ont quelque chose de la sentence de l'homme vieillissant qui se doit coûte que coûte d'imprimer sa marque écrite. Une marque-rite. Dont il prend parfois les tics, et cette sale manie de la maladresse contrôlée qui feront que sans doute bon nombre le sacreront poète... Les images seules suffisaient. Le texte n'est que redondance...
30 décembre 1998