Que dire ? L'autrice joue avec le mot « été » : « c'ététait », dit son compagnon pour « c'était ». Dès lors, on la croit mutine, sagace, mûre pour l'humour. Mais elle loupe « des espadrilles de seconde main » et « les pantalons courtes » de Curt. Dommage.

 

p. 46 :

« Où sont leurs mères ? »

Combien en ont-ils chacun ?

 

p. 96 :

« explicitement évoqué ».

Elle parle du langage journalistique, qu'elle réprouve,

mais dont, sans s'en rendre compte, elle reproduit les monstruosités...

 

Texte qui ne dit pas son nom. Roman, proclame la couverture. Pourquoi roman ? En quoi est-ce un roman ? Qui a pris cette décision, et si c'est elle, quel sens ce choix a-t-il ?... Pourquoi les italiques pour Curt (qui pourrait alors être italien, mais est suédois) ? Parce qu'il parle mal le français ? J'aurais pu parfaitement me passer de la lecture de ce texte...

 

26 janvier 1999