J’ai achevé le long Brethren, lu abondamment dans le train au retour de Lyon et terminé dans la cuisine, avec les fesses sur le radiateur, unique endroit de la maison où il commençait à faire bon après ces trois jours d’absence… Rien à en dire de particulier. C’est propre, efficace et prenant. Un bon roman d’espionnage politique, en somme…

 

25 novembre 2002