De la page 287 à 290, intitulé « Au lecteur de cet ouvrage, préface à la 2e édition des Âmes mortes, 1846) rédigée par Gogol ». Somptueuse, poignante, je n’en relève que le premier paragraphe :
« Qui que tu sois, lecteur ; en quelque lieu que tu te trouves ; que tu occupes un rang élevé, ou sois au contraire d’humble condition, si Dieu a permis que tu saches lire et si mon livre t’est tombé entre les mains, je te prie de me venir en aide. »
Je note cette étonnante « coquille » en en-tête de la page 289 :
« au tecleur de cet onvrage »...