Gallay achevé au soleil du bout du jardin avec un morceau de crumble et un thé. Je me sens presqu’ému. C’est un très beau texte (malgré le boitement de son écriture, parfois – et Martin qui finit dans les bras de Jeanne ; mais ça tient en quelques lignes et, au bout du compte, ça ne gêne pas). (Est-ce son histoire ?) Pour le reste, de la lenteur en partie liée à celle que m’impose mon orteil mini-fracturé…