Le titre exact est Histoire galante de Shidôken, c’est paru dans la collection (à moins que ça ne soit des éditions, ce n’est pas clair) L’Asiathèque (sous l’égide du Collège de France). Deux noms apparaissent sur la couverture : Hubert Maës, qui signe l’avertissement et rédige deux textes qui suivent le texte principal ; Furai Sunjin, qui a traduit. Ces deux noms apparaissent également sur le dos. Et l’auteur ? Il faut attendre l’avertissement pour en savoir le nom : Hiraga Gennai (bon, je peux tout jeter à la poubelle : j’avais oublié que Furai Sanjin était un pseudonyme de Hiraga Gennai)… Deux noms apparaissent : Hubert Maës et Furai Sanjin. Hubert Maës traduit, signe l’avertissement et rédige deux textes qui suivent le texte principal. Furai Sanjin est l’auteur, pseudonyme d’Hiraga Gennai… Voilà que ça continue : c’est Jacqueline Pigeot qui signe l’avertissement... XVIIIe siècle, Shidôken s’inscrit dans « la tradition littéraire des voyages fictifs » (merci Jacqueline). C’est plaisant, amusant. Suivent deux textes (qui sont bien d’Hubert Maës) au sujet des misemono (« chose qu’on montre » et qui désignait les attractions foraines – j’espère que je m’en souviendrai) : Attractions foraines au Japon sous les Tokugwa. Je l’ai lu en entier, avec plaisir ; par contre, je n’ai pas achevé le second Les voyages fictifs dans la littérature japonaise à l’époque d’Edo (mais je le reverrai pour les nombreux kanji utilisés)… Il y a une multitude de notes explicatives que je n’ai pas consultées ; pourquoi faire, je les oublierai la seconde suivante ?

 

4 avril 2018