J’arrête à la page 178…
Notes :
Bavard et convenu. J’attends avec impatience la fin du prologue…
(C’est drôle comme j’ai l’impression de lire les pages prétentieuses
de mes propres écrits. On dirait qu’il m’a lu et me plagie…)
64 Marcel SWANN ?
« […] Alfred Agostinelli, connu de ses camarades pilotes sous le nom de Marcel Swann […]. » J’ai vérifié, c’est exact (il l'avait écrit sur son avion). Je n’en ai absolument pas le souvenir…
91 « sans couper les pages »
« Elle a à sa disposition tout le trésor de la librairie familiale, prenant chaque soir un livre à sa guise dans les rayons, devenant spécialement habile à la gymnastique qui consiste à lire les ouvrages sans en couper les pages […]. » C’est fort. Je m’y étais essayé à une époque, ça marche rarement…
104 et suivantes, tout le monde a la même enfance,
il ne sert donc à rien qu’il raconte la sienne...
163 avec ses quarante-deux participes présents par page, ses « très exactement », sa méconnaissance de l’emploi de « dont », ses phrases rafistolées comme de vieilles guenilles, ce n’est plus agaçant, mais proprement irritant ; je pense que je vais bientôt renoncer…
4 juin 2012