Gealounet,
J’ai relu Sarinagara, avec un plaisir un peu moindre (mais plaisir, tout de même). J’avais pratiquement tout oublié. Je ne me souvenais pas, par exemple, de la place accordée à Issa, Soseki et Yosuke qui constituent pourtant la presque totalité du texte, ni de celle accordée à la mort de sa fille, ce qui est tout de même un comble puisque c’est le point de départ, la raison même du texte… Je t’inviterai, aussitôt que ça sera fait, à prendre connaissance de mes commentaires sur le site... Merci double, donc ; pour le cadeau, d’une part, pour la relecture, d’autre part. Je ne sais toujours pas ce que je vais faire de mon précédent exemplaire qui m’avait aussi été offert, mais sans mot manuscrit de la part de l’offreur – offreuse, en l'occurrence – (dans le cas contraire, la question ne se serait pas posée : je l’aurais conservé) ; rien ne le distingue donc d’un quelconque autre exemplaire. Mais.... Que ferais-tu ?
À bientôt,
Gabounet