Amusant, mais avec tout de même quelques bouche-trous pour épaissir l’ensemble ; ça aurait été plus fort avec vingt ou trente pages en moins… Avant que je n’oublie (je suis en train de faire la saisie des derniers jours de juin du cahier Le Conquérant) : ce matin, quelques livres sur un étal, la jeune femme me dit : « Si vous voulez j’ai des classiques, tenez, SAS, vous connaissez ? Et puis Le mariage de Figaro et » elle tire un livre de sous un tas de vêtements « San Antonio, vous connaissez ? Ah, et puis, Madame Bovary, un vieux livre » elle me le montre, un exemplaire au Livre de Poche des années soixante « c’est en ancien français »...

 

4 juillet 2016