À ma droite, le portfolio acheté chez Jean, dans la collection « La pierre d’Alun », Du début à la fin d’une certaine Catherine (Pascale) Fonteneau illustré par l’exposant du moment, Thierry Lenoir. Apparemment il s’agit d’un recueil de textes rythmés par des pages d’éphéméride (que Jean appelle « farceur » – parce que le verso de chaque feuille – présenté ici à l’envers – était consacré à une plaisanterie – le Robert l’ignore, c’est sans doute idiomatique – non, c’est le nom courant utilisé « calendrier farceur ») ; c’est peut-être pour cette raison que je l’ai acheté. Il nous le montrait, en parlait, Sosthène en a acheté un, j’ai dit « moi aussi » après avoir vu les pages d’éphéméride (le mal nommé puisqu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une éphéméride)… Le calendrier maison de cette année était double, c’est-à-dire qu’il y en avait deux : l’un avec des illustrations de l’exposition des verres que nous avions détestée, l’autre de Glen Baxter ; il nous a demandé de choisir ; dans un même élan, nous nous sommes écrié : « Baxter ! » ; « je m’en doutais » a dit Jean – je n’ai pas dit que nous avions beaucoup parlé de cornichons, bizarre… J’ai lu le premier texte, ai entamé le second. Comme il n’y a pas de titre, je pense que le jour en fait fonction : le 4 février pour le premier, 9 novembre pour le deuxième. Rien de bouleversant non plus et c’est plutôt mal écrit…

 

28 mars 2025