Au retour, je me suis assis devant la télé pour passer en revue la totalité des chaînes disponibles, histoire d’en tirer un constat. Ce constat est misérable, à ce point que je préfère le passer sous silence. Je venais d’achever Light in August qui m’avait laissé palpitant, hésitais à entamer le quatrième et dernier de l’omnibus, Pylon. Peut-être serait-il plus judicieux, à trois mois du départ, de me remettre à l’italien...

 

5 février 2009