Regarder Faulkner posé sur l’accoudoir du siège noir de mon bureau et me dire : je viens de lire As I lay dying que j’avais déjà lu il y a des lustres en français, et relu, je viens de le terminer et ne sais qu'en dire, alors qu’il faut en dire quelque chose. (En même temps, je songe à Sanctuary qui le suit...)
17 septembre 2005