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La lettre du 4 décembre à Bouilhet est

absente chez les universitaires rouennais...

 

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15 janvier 1850. Quatre pages sont absentes à Rouen. « Bardache » (« Par un tel bardache, ce ne doit pas être poires molles. ») qui apparaît dans cette lettre chez Macha est absent de Rouen. Elle précède la coupure chez Macha ; je ne peux donc rien en déduire, d’autant que d’un côté comme de l’autre, il n’y a absolument aucune indication (bizarrement, la page universitaire ne comporte que le texte brut, sans aucune explication, aucune indication d’aucune sorte, aucune voie de sortie). La suite : « J’étais seul au fond de l’étuve […] » apparaît bien à Rouen, mais précédé de « L’autre jour, j’ai pris un bain. » Pour résumer, de quoi s’agit-il, qu’est-ce qui se passe ? Où se trouve la véritable intégrale de ces lettres (et de là, de la correspondance de Flaubert) ? Je renonce…

 

« polluant »

« […] il s’est mis de la droite à tirer sur mon vit et, le polluant par un mouvement de traction […]. » À tout hasard, je fais une recherche : « vit » n’apparaît jamais à Rouen… Quel sens à « polluer » ici ? (Il n’apparaît pas non plus à Rouen.) Robert ne connaît que le sens commun (étymologiquement « souiller »). Incidemment, en faisant une recherche sur le réseau, je tombe sur un site où apparaît un article intitulé « quand Gustave Flaubert était saisi par la débauche » et consacré aux Lettres d’Orient ; le premier extrait est précisément celui que j’ai cité (« J’ai baisé sur une natte […] cons rasés […]. » Voilà qui authentifie le texte chez Macha, mais, en survolant, je m’aperçois qu’il est loin d’être intégral (mais ne le savais-je pas déjà ?), par exemple, une lettre à Théophile Gautier écrite à Jérusalem. Ça ne coûterait rien de le préciser. (L’édition à laquelle l’auteur de cet article se réfère – un certain Michel Perdrial et c’est son journal – est L’Horizon chimérique ; je vais tâcher de trouver cela)

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