« Selon la répartition de ces classes d’âge qui me paraît la plus vraisemblable, le garçon était successivement : de la huitième à la onzième année, “ petit gars ” ou “ louveteau ” (rhobidas, promikkizoménos, mikkozoménos, propaïs) – puis, de la douzième à la quinzième : “ garçon au sens plein (pratopampaïs, atropampaïs, meilleirèn) – enfin, de la seizième à la vingtième : irène, c’est-à-dire éphèbe de première, deuxième, troisième et quatrième année. »

 

Voilà toute une série de mots qu’il serait bon de passer au crible du cours, et en grec dans le texte, de préférence…