« Nous avons déjà fait allusion à la pédérastie, à propos de l’éducation spartiate. Si déplaisant que soit le sujet [?], il est impossible de le passer sous silence [???] : l’amour des garçons a joué un trop grand rôle dans l’éducation grecque. On constate même que le mot “ amour ” (érôs) est assez rarement employé dans les textes de l’époque classique quand il s’agit de l’attrait normal [?????] des sexes et qu’il est presque réservé à l’amour homosexuel. »

 

D’où ce Flacelière-là sort-il donc ? Et comment ai-je pu passer à côté de ces abominations ?

 

(Renseignements pris en 4e de jaquette (!), il est normalien, membre de l’École française d’Athènes et a été professeur à la faculté des lettres de Lyon avant d’occuper une chaire de langue et littérature grecques à l’université de Paris. Directeur de l’École normale supérieure de 1963 à 1971, il a été élu membre de l’Institut en 1967. Qui l’eût cru ?)