Je consacre des heures à Ferrante et tout en lisant, je me dis que je ferais mieux de me consacrer à mes propres textes (« la nouvelle vie » tourne en moi sans que je ne parvienne à l’arrêter et à m’y mettre ; paresse ? Manque d’énergie et de foi, en tout cas)… J’ai envie d’aller au calvaire des marins