Il y a une demi-heure l’ouvrier sortait Céline de l’eau et depuis ça tourne en boucle dans mon esprit. Tout ce que je peux te dire, c’est que je suis exactement dans le même état qu’hier après L’Humanité, à cette différence près que cette fois je me passerai de mots… (Une fausse note : la musique à la fin, notamment au cours de la scène où elle pleure et se lamente au pied des ex-voto…) (La rencontre finale de l’ouvrier et de Céline est extraordinaire, ou plutôt la manière dont leur parcours respectif finit par se rejoindre. Quelle belle scène – christique, mais en l’occurrence, cela allait de soi – ne t’en déplaise…) (Le Christ de Pasolini était un révolutionnaire)