Préface.

« Les majorités, les imbéciles, les bourreaux : tels sont les ennemis que dénonce ce texte. Ce qui est le fait de la masse est nécessairement mauvais : les idées reçues sont bêtes, parce qu’elles sont reçues. Et d’autre part, le texte que nous venons de citer donne tout son poids à la remarque de Sartre : Flaubert réagit à la bêtise comme à une agression, pour lui “ le sot devient un oppresseur ”. »