J’hésitais entre le cahier et le clavier (clahier, cavier), ai eu la flemme d’aller jusqu’à mon second bureau : saisie directe. Recherche et poursuite de la mystérieuse et énigmatique miss Zilphia. Où est-elle ? À l’Université de Virginia, et si j’en crois ce qu’ils en disent, cette nouvelle n’a été publiée qu’une seule fois dans le Book Club of Texas en 1932 (d’où la proposition des bibliophiles et bouquinistes – à des prix, évidemment, pharamineux). Alors, comment la lire ? Eh bien, il suffit de les lire, eux : ils en possèdent trois versions dont un tapuscrit disponible à la lecture, le dernier avant impression. Je me suis empressé de télécharger les dix-huit pages qui le composent (c’est incommode à l’écran, après chaque page il faut revenir en arrière, alors qu’il aurait évidemment été plus simple de créer un lien direct entre elles). Je ne les ai pas encore lues, ce n’est pas aisé sous forme d’images et je pense que je vais les passer en reconnaissance afin d’obtenir un texte d’un seul tenant (et peut-être les traduire puisque, apparemment, ça n’a jamais été fait). En ce qui concerne Idyll in the desert, je n’ai encore rien trouvé, pas le texte en tout cas qui, de même et apparemment, n’apparaît nulle part ; mais je n’ai fait que survoler… (Je me trompe, elle a été traduite et apparaît dans Idylle au désert et autres nouvelles, « nouvelles posthumes et non publiées »…)

 

12 novembre 2024

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