24 Frony
Le fils de Luster – comment le deviner
tant est brève son apparition ?...
Passé simple ?
Je me demandais tout en lisant si, au moins pour le monologue de Benjamin, Coindreau aurait utilisé le passé simple ou le passé composé ; le fichier PdF me donne la réponse : c’est bien au passé composé comme il se doit – mais en est-il de même pour les deux monologues suivants ? – j’imagine que pour la dernière partie il a utilisé le passé simple, je vais vérifier… Je survole le texte, constate que par moments (deuxième partie) il alterne passé simple et passé composé ; pourquoi ? Dans la troisième, le monologue de Jason est au passé simple… (Idem pour la quatrième, évidemment, ça peut se comprendre puisqu’elle est écrite en style indirect ; il n’empêche – a-t-il osé glisser des imparfaits du subjonctif ?…)
39 Charlie et auparavant Dan
Qui sont-ils ? Coindreau n’en parle pas ; peut-être des amants de Caddy…
J’ajoute que la cravate rouge que portera « plus tard » l’amant
de Caddie apparaît ici ; je l’avais évidemment oublié…
PdF : Une note à « gencive bleue », traduction littérale de « bluegum » : « Les bluegum negroes ont, dans le Sud, la réputation d’être particulièrement sauvages ». Mais encore ? Pourquoi « gencive bleue » ? À cause de la noirceur de la peau qui ferait paraître bleue la gencive ? (Puis voir note 43 du PdF. Dans le texte original, il est écrit : « a sign in electric lights: Keep your on Mottson, the gap filled by a humain eye with an electric pupil. » Traduction : « Ayez l’ʘ sur Mottson ; le mot remplacé par un œil humain à pupille électrique. » Note : « Dans le texte imprimé figure ici le symbole d’un œil (N. copiste) » Quel texte imprimé, et pourquoi une illustration qui ne figure pas dans l’original – en tout cas, pas dans cette édition-ci ? Et dans ce cas, l’explication en français est superflue... (Et quel copiste ?...)
9 août 2024