Cette nuit, après avoir scanné quelques pages des Introspections, j’ai jeté un œil à William. J’en ai lu une bonne vingtaine de pages, au hasard. J’ai été épaté ; en même temps, il me semble que ça reste de l’ordre de l’exercice de style. Faulkner s’y impose et ça me semble d’autant plus manifeste que je suis en train de lire Pylon (le fleuve allié au feu, je suis emporté alors que j’en avais gardé un souvenir diffus et pas très « positif »)…
(Je me demande ce qui peut être sauvé des Introspections. Évidemment, ça remet L’Archiveur sur le tapis et j’y ai repensé en me posant de nouveau la question du « ton » : quel ton adopter ? Est-ce que je ne pourrais pas utiliser l’essentiel des Introspections, me mettre donc complètement en scène ?...)
13 novembre 2018