« Je me souviens d’avoir eu un jour, dans une de ces rues de Hong Kong, un petit différend avec le coolie pousse-pousse qui m’avait traîné. Le fond de l’affaire, pour tout vous dire, c’est que je ne comprenais pas le chinois et que le coolie ne connaissait pas le français ; nous ne réussissions donc pas à nous mettre d’accord sur le prix qu’il me fallait payer, et qu’il lui fallait accepter. J’appelai alors un policier uniquement pour élucider la chose. Le policier leva son bâton, assomma le coolie et me déclara que c’était payé.
Aussi y a-t-il beaucoup d’ordre dans les rues de Hong-Kong.
À quelque chose, brutalité peut être bonne. »