« Ma come puó esistere un essere necessario totalmente intessuto di possibile ? Che differenza c’è allora tra Dio e il caos primigenio ? Affermare l’assoluta onnipotenza di Dio e la sua assoluta disponibilità rispetto alle sue stesse scelte, non equivale dismostrare che Dio non esiste ? » « Come potrebbe un sapiente continuare a comunicare il suo sapere se rispondesse di sì alla tua domanda ? » Non capii il senso delle sue parole : « Intendete dire, » chiesi, « che non ci sarebbe più sapere possibile e comunicabile, se mancasse il criterio stesso della verità, oppure che non potreste più comunicare quello che sapere perché gli altri non ve lo consentirebbero ? »
« Mais comment peut exister un être nécessaire totalement tressé de possibles ? Quelle différence y a-t-il alors entre Dieu et le chaos originel ? Affirmer l’omnipotence absolue de Dieu et son absolue disponibilité par rapport à ses propres choix n’équivaut-il pas à démontrer que Dieu n’existe pas ? » « Comment un sachant pourrait-il continuer à communiquer son savoir s’il répondait oui à ta question ? » Je n’ai pas compris le sens de ses mots : « Vous voulez dire », ai-je demandé, « qu’il n'y aurait plus de savoir possible et communicable si manquait le critère même de la vérité, ou bien que vous ne pourriez plus communiquer ce savoir parce que les autres ne vous le permettriez pas ? »