Campari, chips. Bus Treviso. La foule. Le petit bar aux délicieux Chinois – ai-je parlé du magasin de vêtements où Éléonore s’était arrêtée près de Miracoli tenu par une Chinoise ? Plus tard, queues partout, nous allons à la presse, j’achète trois livres, dont A passo di gambero d’Eco. Impossible d’échapper à la queue qui ne fait que s’allonger et grossir, excroissance de l’animal que serait l’aéroport. Nous nous y mettons, lisons, moi Eco, alors que la troupe autour de nous bat la semelle à regarder en l’air tout en pensant à rien...
29 octobre 2007