« J’avais vu le résultat de cet ultime traitement humain, la lobotomie frontale. Pour ce faire, ils retirent un gros morceau du crâne dans la zone frontale, enfoncent un instrument pas très différent d’un pic à glace jusqu’au cerveau où, à l’aide de quelques courtes décharges, ils raclent toute la peine, la rage et la violence, toutes les choses qui font que nous sommes un Homme, en ne laissant derrière eux qu’une grosse masse de protoplasme souriant stupidement. »