« Before getting to him, I read the pre-Freudians, Hawthorne and Dostoevski, and because they seemed to me to grasp the human psyche better than all the post-Freudians writers lumped into one glibly analytical and monstrous bulk, I decided I had best remember the details of my particular illness truly and precisely: I was certain that understanding was contained in the very detail. »
« Avant d’en arriver à lui [Freud], j’avais lu les pré-freudiens, Hawthorne et Dostoievsky, et parce qu’il m’avait semblé qu’ils saisissaient mieux la psyche humaine que la totalité des post-freudiens réunis en une monstrueuse et désinvolte masse analytique, j’avais décidé qu’il était préférable que je me souvienne véritablement et précisément des détails de ma maladie particulière : j’étais certain que c’était dans le détail même que se trouvait la compréhension. »
J’aime ce point de vue et le partage : Dostoievsky a tout
dit de l’âme humaine et Freud n’est qu’un plagiaire…