Le Chocolat. « Un film pour toi », me dit Éléonore alors qu’elle est assise face à l’écran et que je m’assois à côté d’elle muni de trois livres de la souffrance destinés, avant un dernier regard, à la bibliothèque : je sais que je ne les lirai jamais. Parmi eux : Antoine Caron. Je l'ai feuilleté, comme par acquis de conscience, avant d’aller le glisser, comme en douce, dans la bibliothèque.
9 avril 2004