Je viens d'achever Dali. Multitude de choses à dire. En même temps, la lecture de la préface et de la postface sont suffisantes en soi pour me dispenser de tout discours, postface dont l'auteur est le traducteur en états-unien du roman écrit en 1943 ; du moins porte-t-elle « sa » signature : ce Haakon Chevalier n'est-il pas Dali lui-même ?

26 novembre 1998