Ça tire sous les côtes. J’ai appliqué le baume des nerfs qu’Innocent m’avait recommandé. Ça chauffe... Le Duras s’intitule Un après-midi de monsieur Andesmas (l’avais-je ? je suis allé vérifier : non). Au bout de la première page, je m’étais demandé ce que c’était que cette histoire au ton presque académique. J’ai regardé le copyright : 1962. Tout s’expliquait. J’en ai lu deux autres pages avant de renoncer ; c’était comme si je l’avais déjà lu… J’ai oublié l’autre livre en bas, alors que je l’avais préparé (Enfin la vérité sur les contes de fées de Murielle Renault)… La journée s’achève, soleil, vent, je n’ai rien fait de particulier, un peu de rangement boutique, recherche de deux livres d’Éléonore qui se trouvent je ne sais où (elle non plus). Dans une heure, apéritif, cuisine, mots croisés au son du ronron de la troisième belge ou de Klara…

 

20 avril 2020