Le désintérêt a succédé à l'intérêt, puis de nouveau l'intérêt à partir de la partie finale intitulée The roof of the world ; quoiqu'avec certaines réserves : fin hédénique, moraliste qui me fait tiquer ; comme me fait tiquer l'académisme de l'écriture qui, me semble-t-il, n'est pas dans le Quatuor qui précède ce roman (mais je pense à ce qu'Éléonore m'avait dit à propos du Quatuor et de Durrell en général : pompeux et un peu ridicule. Je n'avais pas été d'accord, je gardais un excellent souvenir de ce texte – mais il y a combien de temps de cela ? Et comment puis-je parfaitement juger de la qualité d'écriture d'une langue qui n'est pas la mienne, même si je peux la lire couramment ?).

19 octobre 1998