Une première rédaction en 1777, une seconde remaniée en 1815. Je ne vois pas l’utilité de la réédition de ce texte quelconque, encore qu’il y ait eu une version antérieure (à quoi ?) et anonyme présentant des ajouts pornographiques qui, je l’avoue, mettent un peu de piment à cette triste histoire sans intérêt. Suit La petite maison d’un certain Jean-François de Bastide (n’y en a-t-il pas un autre sans particule ?). Texte libertin, bien léger, fin XVIIIe. Je ne vois pas non plus où tout cela mène. Pourquoi ressortir tout cela de l’oubli ? Ensuite, Anatole France Le Baron Denon que j’entame…

 

7 juin 2005