Frayeur habituelle au décollage, paysages enneigés
sous nous (Alsace, Vosges, Rhin ?). J’ai entamé The Visitation of
the Plague, mais j’avoue que je n’y porte guère
d’attention (attraction du hublot, l’appréhension, malgré tout).
Au-dessus des nuages, il fait beau. Je pense que je préfère les moutons de
cette altitude aux maisons à portée de main (impression qu’à cet endroit,
entre blanc et bleu, rien ne peut arriver). Mon voisin de droite, qui
n’avait l’air pas très rassuré au décollage, lit Le Parfum
en néerlandais. Éléonore lit City de Philip Boast, histoire de
Londres, « encore une » pour reprendre ses termes…
28 décembre 2001