Après l’Escadrille, je suis retourné à la Cave à Vin pour y acheter deux bouteilles, suis revenu par la digue, il faisait très beau, je me sentais bien. J’ai déposé mes sacs, suis allé acheter du papier cadeau à la galerie marchande, ce sera ça de fait. Mais je n’ai pas d’étiquettes (j’ai l’impression que mes propos rapportés dans le journal sont de plus en plus indigents – mais ils sont le reflet de ma vie, non ?)