Il ne me reste plus qu’une cinquantaine de pages. C’est vraiment dommage que ce pavé soit si encombrant et, surtout, si fragile. Je me répète, je sais, mais c’est une gêne constante, je ne sais comment le tenir, comment me tenir pour que la quatrième de couverture ne me reste pas entre les mains. (J’avais dit à Sosthène que j’allais mettre du scotch ; sa réponse m’a fait supposer qu’il s’attendait à ce que je le lui rende, alors qu’il m’en avait fait cadeau, non ?) (Il y a quelque temps, je lui avais dit que le meilleur cadeau que l’on puisse faire était quelque chose dont on ne voulait pas se séparer ; il me l’avait rappelé le jour où il m’avait remis ce livre…)
18 décembre 2021