Lire les pages soixante-dix de Duchêne en écoutant Two Gongs de Chatham, c’est très étrange. C’est comme un appoint, une résonance ; les vagues des sons sur l’onde des mots (?). Ou l’inverse. Ou le son des mots, de ses mots… Je m’y suis remis en cours de soirée, un peu avant ce moment-là, celui des gongs. Je me suis promis de l’achever avant demain pour le rendre à Fanny. En même temps, il est un peu stupide de me forcer à le terminer (mais je ne me force pas vraiment)...

 

8 novembre 2003