La plage se peuple. Je suis comme un homme seul à cet endroit où je n’ai absolument rien à faire, mais où il ne me déplaît pas vraiment d’être. Je suis à l’ombre sous mon parasol à 3 Lv, assis dans ma chaise confortable à 3 Lv, j’ai avec moi mon carnet et mon crayon gris, et Rameau qui disserte, et il y a le vent pour me rafraîchir, et il n’y a pas de musique hormis celle de la mer (hardiesse de l’image), et je peux faire abstraction du monde, de la même manière que dans la rue, dans le métro, à une terrasse de bistro. Que demander de mieux ? De surcroît, je somnole