Achevé, debout dans la cuisine. Dommage qu'il y ait les quinze dernières pages et les deux derniers paragraphes qui gâchent un peu : le premier par sa naïveté à l'excès, alors que jusqu'à ce moment-là elle était la qualité première du texte, parce qu'elle était tenue, mesurée ;
le second par ses accents de moralisation, et de conclusion à tout prix. Mais c'est tout de même assez remarquable... (Ai-je relevé la note du marque-pages : voir passages soulignés ?)

14 août 1998