J’ai achevé l’histoire de Rabier sur le balcon ; puis ai entrepris la lecture sur papier du 3 septembre. Parallèlement, je pense beaucoup au « bureau », sans parvenir à m’y remettre, ou plutôt à m’y mettre tout à fait. J’attends le moment propice, qui va sans doute bientôt arriver (j’écris de drôles de choses, parfois). Il fait beau, je sors de la douche. J’ai passé la matinée sur le balcon, pas trop distrait par la mer et les habitants de la plage (peu nombreux aujourd’hui)…
5 juillet 2016