En définitive, je suis en congés dès ce soir ; six
jours devant moi. J’en profite pour faire le ménage de mon tiroir sous
réserves de la capacité de son sac. J’y retrouve ma méthode de grec
moderne, j’y remets le nez, lis quelques passages qui remettent en route
des mécanismes. Je récupère en outre Éloge de l’infini. Mais plus de
place pour Artstudio 18, ni pour L’Adolescent
dont j’ai décidé d’abandonner la lecture. Il restera ici
jusqu’à mon retour…
27 mai 2003