« The term geisha, literally, “artist”, was an element in numerous terms for different professional women in the latter half of the eighteenth century: shiro (white) geisha were purely entertainers, as opposed to korobi geisha, who “tumbled” for guests; kido(gate) geisha stood at the entrance to carnivals, playing their shamisens to attract business, whereas joro (whore) geisha were probably not hired for their musical skills. Around 1770, the former dancing girls (odoriko) of the feudal towns began to be called machi geisha, “town geisha”, as opposed to the geisha who appeared within the licensed quarters of the more sophisticated cities. Machi geisha in turn had other nicknames, such as neko, “cat”, a word that could be written with characters implying the possibility of pussy from these cats. »

 

« Geisha, littéralement “ artiste », était l'un des nombreux termes pour désigner différentes professionnelles durant la seconde moitié du dix-huitième siècle : les shiro (blanc) étaient de pures entraîneuses, opposées aux korobi qui “ s'ébattaient ” pour les invités ; les kido (porte) se tenaient à l'entrée des carnavals jouant de leur shamisen pour attirer le client; quant aux joro (putain), elles n'étaient sans doute pas engagées pour leurs talents musicaux. Aux alentours de 1770, les anciennes danseuses (odoriko) des villes féodales commencèrent à se voir attribuer le nom de machi geisha (les geisha de la ville), opposées aux geisha qui apparaissaient dans les quartiers autorisés de villes plus sophistiquées. Les machi geisha à leur tour eurent des sobriquets, tels que neko (chat), un mot qui pouvait être écrit à l'aide de caractères suggérant qu'il n'était pas impossible qu'une chatte
sorte de ces chats-là. »