« A great part of a geisha’s appeal used to be her innocence – or perhaps ignorance – of practical matters. The image was of a charming creature who could hardly manage to find her way to the banquet hall by herself. Men come to the teahouse and engage geisha in order to get away from the worries of everyday life, and they like to think that the geisha are totally removed from such concerns as well. [...] creating an atmosphere that, to some extent at least, keeps reality at bay. For example, I’m not likely to get into a discussion of the stock market with a guest – unless I know him very well. »
« Une grande partie de l'attrait de la geisha provenait de son innocence (à moins que ça ne soit de l'ignorance) en matière de choses pratiques. Son image était celle d'une charmante créature qui pouvait à peine trouver sa route toute seule jusqu'au couloir du banquet. Les hommes viennent à la maison de thé et engagent une geisha pour oublier leurs soucis quotidiens, et ils aiment à penser que les geishas sont totalement en dehors de ces préoccupations. [...] créer une atmosphère qui, jusque dans une certaine mesure, garde la réalité à l'écart. Par exemple, je ne suis pas censée entrer avec un invité dans une discussion sur la Bourse - à moins que je ne le connaisse très bien. »