Loggia, il fait presque doux. La plage est déserte (hier la foule, aujourd’hui personne)... À présent, il y a quatre petits meubles à étagères dans l’appartement, dont les deux en bambou que j’ai pris avec moi. Nous avions déjà apporté des livres, j’en ai apporté d’autres, les étagères sont combles (étrange de voir tout à coup tous ces livres autour de moi). L’un d’eux est Blondie de Despentes (en réalité Bye bye Blondie ; il est étrange que je n’aie pas vu « bye bye » alors que mon regard s’est posé à plusieurs reprises sur la couverture), je vais y jeter un œil. (Mes lombes commencent à tirer…)