Il était joint à Le centoventi giornate di Sodoma. Éléonore pensait, à la vue du titre, qu’il s’agissait aussi d’un livre italien. Sur le bandeau figure le portrait de l’auteuresse et cette mention éclairante et définitivement démonstrative : « chronique d’une passion extrême ». En effet, ouvert au hasard : « Je m’agenouillais, lui ôtais son slip quand elle en portait un, et lui mangeais les fesses. Très vite, son con pleurait de plaisir [oh !], et je la faisais jouir […]. » Est-ce que je vais m’y risquer ?
18 mai 2006