Léo et Wilhelm nous ont accompagnés aux puces de Rocke, celles-là même où j'avais trouvé Mercedes. De ces puces gigantesques, je n'ai réussi à tirer que trois livres, dont ce Duras inconnu et sale... Je suis arrivé le premier au café rouge au milieu de la côte qui était notre point de rendez-vous. J’y ai pris deux cafés en lisant. Wilhelm et Léo m'ont confié leur butin avant de poursuivre leur route. J'ai repris ma lecture un peu distraite dans ce milieu d’agitation qui, malgré tout, parvient encore à me charmer.

 

15 mai 2006