Tout d'abord : Greenleaf de Flannery O'Connor qui ailleurs m'ennuie. Ici, c'est agréable, prenant ; mais sans surprises, un peu « faulkeuse ».
Puis Why I live at the P.O. d'Eudora Welty (inconnue). Autobiographique, enfance ; classique du genre. D'innombrables états-uniens et uniennes ont commis ce genre de texte avec un ton similaire. J'ai laissé tomber à la quatrième page. Suit A Fancy Woman de Peter Taylor, inconnu encore. Honorable, quoique sans grande nouveauté. Je suis en train de l'achever...

1er décembre 1999