Notes :
Étrange forme
d’italien avec la présence (l’emploi) des prénoms personnels.
(Et ce mot « MECO »
qui semble être CON ME…)
p. 10, où les croquignols
de mon lecteur studieux et appliqué (et persévérant) ne sont pas tout à
fait inutiles : NEMICO dont la seconde syllabe est soulignée d’un
trait de crayon. Non, me suis-je dit, l’accent est sur la première. Je
vérifie à tout hasard. Il a raison. J’en reste comme deux flans de flan
(perdre maintenant l’habitude de dire NEmico…).
10 novembre 2002