Je termine Zabor, il me reste quelques pages, et je ne sais toujours pas pourquoi je ne parviens pas à m’attacher à ce texte. C’est envolé, presque lyrique, habité, c’est une belle langue et pourtant je n’y entre pas… (La chair de l’orchidée a été sa « première femme », sa première « jouissance solitaire » ; qui a été la mienne, ma « première femme » – pas ma première jouissance solitaire, je m’en souviens très bien ?)... Les articulations de mes mains (doigts) me font un souffrir, surtout la gauche ; je suis sûr que c’est essentiellement lié à la frappe, la répétition des mouvements des doigts, dont le pouce gauche Alt Tab et la barre d’espacement ; je tâche au maximum de limiter l’emploi des raccourcis pour privilégier la souris…

 

28 avril 2022