Puis :
« Le chemin qui
descend : Il est dabord facile et attirant, mais
quil est vite ornière, fossé, abîme ! Et quil
séduit, pourtant ! on crie en vain : “ Prenez garde ”. Bast ! on veut « être
son maître » Est-on jamais son maître
ici-bas ? On commence par des fredaines ;
lorgueuil, la sottise, le vice sen mêlent et la
pente fatale ne se remonte plus. On sombre de chute en chute, de
la salle de police à la prison, puis à la cellule, puis aux
compagnies de discipline, puis au déshonneur de linfamante
rebellion, puis
Quils regardent cette page si vraie
dans sa simplicité, ceux qui, par faiblesse, trop souvent,
glissent sur la terrible pente
Quils regardent et
quils comprennent ! »
...