Il est dédié à Ange Goudar, dont je ne
connaissais que le nom, encore qu’il appelle quelque chose de précis dans ma
mémoire que je ne parviens pas à circonscrire. Aurais-je un livre de lui ?
(Oui : L’espion chinois.) (Pas de trace du précédent numéro ; Helmut
Watzlawick va m’en envoyer un exemplaire...)